• Samedi 24 mars, visite de la ville de Tiwanaku avec Anita et Illich. Cette ville était la capitale de la civilisation du même nom, pré-Incas de -200 à 1300. Elle est contemporaine du règne de la civilisation Waris, dont nous avions visité la capitale aussi, au Pérou !

    De belles statues et portes monolitiques : puerta del Sol et de la Luna...

     

    Tiwanaku

    Les visages de pierre du temple semi-subterraneo 

     

    Tiwanaku

    Le monolit'au bouteille de bière

     

    Tiwanaku

    Le Dieu du Soleil

    Désolés, on fait un peu rapide pour ces belles ruines, si differentes des ruines Incas (et pourtant, c'est toujours que de la pierre !).

    Demain, nous partons pour une rando vers Coroico, une petite ville dans les contreforts des Andes, une porte vers l'Amazonie bolivienne... Le paradis de la Bolivie parait-il, d'où, sous les bananiers et dans une atmosphere tropicale, on peut admirer les andes enneigées !

    On prevoit 4 jours de marche... à bientôt sur les ondes !


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    Ambience Paceña… ambience deLa Paz…

    C’est une ville bien agréable, finalement ! La vie y est trépidente mais reste a taille humaine : 1 millions d’ames animent cette capitale bolivienne… sans compter les 2,5 millions de l’Alto.

    Ambience Paceña

    La Paz se déploie sous sa fierté, l'Illimani

    Quelques bonnes soirés avec nos amis, dans les petits restau des marchés, a cuisiner chez Anita... mais quoi donc ? des "papitas" bien sur ! En gratin à la crème, quel régal... un petit gout francais qu'on avait oublié !

    Ambience Paceña

    Soirée chez Anita et Illich

    La nourriture est omniprésente, pas etonnant qu’on la retrouve beaucoup dans nos articles ! Partout sur les trottoirs, on tient des petits stands de biscuits faits maison, de verres de gélatine rose, des paquets de “galletas”, des sodas notamment la gazeosa nacional : “Cola Quina” (apres l’Inca Cola du Perou !), des verres de “jugo de durazno” (abricots sechés bouillis dans de l’eau puis servis froid)… et selon l’heure, les gourmandises changent : les savoureuses salteñas, chaussons plein d’une sauce aux legumes et au poulet, et les boissons chaudes de quinoa ne se trouvent que le matin. Par contre, c’est a partir de 17h seulement qu’on peut deguster un bon api morado bien chaud, boisson rose-violette faite a partir de farine de mais violet, bouillie avec de la cannelle et des clous de girofle, servi avec des buñuelos, beignets sucrés ou au fromage. Les stands de fruits sont immanquables : du haut de leur promontoir et entourees de piles de fraises, d’ananas, de poires, de kiwi, d’oranges, de pommes, de bananes etc., les mamas, armés de leurs mixeurs, proposent des jus ou des salades de fruits avec du yaourt et des cereales… Bien sur il y a aussi les stands de pain à tous les gouts et de toutes les tailles, nature ou briochés, fourrés de confiture, de fromage ou de bechamel, on n’a pas fini d’explorer cette diversité ! Par terre sur les trottoirs, presentés sur leur aguayo, les cholitas vendent des petits tas de mini pommes de terre (grosses comme une phalange de pouce!), des racines de couleur rose ou panaché marron et jaune, des fromages…

    Ambience Paceña

    Ambience paceña...

    Aguayo : un élément indispensable de la culture andine. Appelé Aguayo ici, Manta au Pérou, il s’agit d’un grand carré de tissu aux couleurs vives mêlant rose fluo, vert, bleu… Il sert a tout : transporter dans son dos un bébé (… parfois bien grand deja !) ou toute sorte de marchandises, a être etalé par terre pour présenter des objets a vendre, a se couvrir quand vient l’air frais de la pluie…

    Les chapeaux melon, souvent associés à ces aguayos, tronent sur les têtes des cholitas. Ils sont si petits de diametre et si hauts à la fois qu’on se demande comment ils tiennent !

    Les cireurs de chaussures sont un autre trait deLa Paz. Encroiser un peut faire peur ! Ils ont toujours le visage couvert d’une cagoule et d’une casquette et transportent leur petits tabourets de travail. L’ambience sur la grande place de l’Eglise San Francisco ne serait pas la même sans leur presence. Cette imposante eglise est decorée de symboles à la fois chrétiens et andins, un mélange etonnant à observer ¡

    Les petits vendeurs dans les rues piétonnes ne sont pas que des cholitas ! Il y a un bon nombre de vendeurs d’artisanat de graines et de macramé qui nous viennent d’Argentine et du Chili ! des voyageurs comme nous, mais qui prennent plus de temps et remplissent la bourse au cours du chemin… D’autres, parfois venus du Bresil, font de la musique ou du jonglage…

    Le litoral boliviano… toute une histoire ! Cet apres-midi, nous avons visité le (petit) musée du litoral bolivien, morceau de terre comprenant Arica, qui appartient au Chili depuis 1879… Les boliviens ne se remettent pas de cette guerre et nous avons fêté le 23 Mars, “el dia del litoral” ! Cette bande de terre gringotée par les Chiliens (bien aidés des anglais) est tres riche et exploité pour ses mines de cuivre.

     

     

     

     

     


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    Info : ca y est les photos sont arrivees, dans tous les derniers articles depuis Chao Peru !

    Nous voila de retour a La Paz, voila une semaine qui s'est ecoulée et on a toujours rien posté de plus...

    Faut dire qu'on n'a pas zoné dans les coins les plus propices a la technologie, doux euphemisme pour qualifier les troupeaux de Lamas... :)

    Après l'escale de Patacamaya (sur la route du Sajama), où vos serviteurs ont degusté de delicieux poulets aux hormones dans un boui-boui au milieu d'une ville qui ressemble à s'y méprendre à ce bled, là, où y a ce type avec un poncho et un chapeau et son six coups au ceinturon et qui finalement a une plaque de fonte sous les fringues... (c'était malin quand même... moi j'y aurais pas pensé, j'me serais surtout dit qu'il viserait la tête, le mec d'en face, mais bon... je m'égare!)

    Donc voilou, une belle ville avec des maisons pas finies, qui entourent une rue principale et basta(chui mauvaise langue vu que il y avait quand même des rues parrallèles et même perpendiculaires!).

    En gros, si les maisons sont pas finies (ou du moins en ont l'air) c'est pour pouvoir agrandir plus tard, car il reste souvent de grandes perches en acier qui se dressent au dessus du toît dans le prolongement des murs, c'est pour fabriquer l'étage d'après -quand on a reussi a amasser suffisament de pognon pour agrandir of course (en sac..)-

    Après une douce nuit au délicat réveil, principalement composé des grands BLAM BLAM BLAM sur la porte: la nana qui s'occupe des piaules s'impatiente et s'inquiete de l'heure de notre départ, faut dire qu'il est quand même 9h...haaaa les feignasses! donc après ce doux réveil, on est parti prendre un micro-bus pour le parc tant désiré du Sajama!

    En attendant le depart (comprendre: en se restaurant...) on a fait la rencontre d'une Bretonne exilée pour un temps en terres Latines, Stephanie. Elle aussi va au Sajama se foutre au vert, parceque ils sont bien sympas les touristes, mais au bout d'un moment ca gave quand même! C'est sûr qu'on va pas la contredire, on doit avouer qu'on s'est pas vraiment rués sur les gros spots touristiques, on pourrait même dire qu'on les a conciencieusement esquivés jusque là..!

    Donc pas de bol pour elle, elle s'en recolle 3 pour partir au milieu de nul part!  ;)

    L'heure et demie de trajet se transforma en 4 au fil du paysage plat (Altiplano toujours, oui il est assez grand...), pour finir sur le poste d'entrée du parc national a l'orée du vilage éponyme de Sajama.

    Sajama!

    Bienvenue au Parque Nacional Sajama

    Grosse ambiance dès la descente du micro, on se retrouve tous les 4 accueillis (je n'arriverai jamais à écrire ce mot!) par une avalanche de grele et un orage qui éclate tout près, sur la plaine... les Lamas paissant paisiblement tout prêt, se mettent a devaller le plat (si si on peut devaller du plat y avait qu'a les voir!) dans tous les sens, une vrai débacle. La guardienne des lieux nous aprend que la foudre tombe parfois sur eux... les Lamas hein pas les gardiens de parcs nationaux (quoi que...). ceci explique donc les vaines manoeuvres dillatoires qu'ils effectuaient en tous sens, ce qui est en fin de compte relativement stupide car ils avaient des paratonnerres pas loins mais bon c'est des lamas après tout, faut pas trop leur en demander hein?

    Donc voilou c'est cool il grele et y a de l'orage, le paysage est quand même sublime, d'un côté le volcan Sajama qui se dresse devant nous avec de la neige plein la tête, autour une plaine a des dizaines de kilomêtres alentour, que dis-je parfois plus de 30 km! Le tout cerclé d'une chaine de montagnes que l'on penserait quasi-discontinue. La chaîne de montagne qui s'élève de derrière la ville est la frontière Chilienne (Jenny on te passera le plan ca sera tout près pour toi l'an prochain... enfin a 2000 bornes près, mais c'est à l'entrée de la Bolivie).

    Après les formalités d'entrée: passeport, empreintes, prise d'ADN, verification généalogique sur les 30 derniers siècles...nan je plaisante bien évidement, mais je suis sidéré par l'anti-fichage et le nombre de fois ou il faut donner son numéro de passport! (mes deux confrère-soeure sont plus habitués à l'étranger déjà...) limite pour achetter du pain, m'enfin  :)

    Donc après les formalités, nous nous séparons temporairement avec Stéphanie, elle vas à son auberge, tandis que les gardes du parc nous donnent leur bénediction pour planter nos tentes dans le "jardin" (en fait plutôt la cour) de l'école du village. Ils nous expliquent que ce n'est pas la saison pour entreprendre l'ascention : a cette epoque il ne fait pas assez froid et la neige est trop molle. Il faut revenir a partir de Juin, avec piolets et crampons ! La haut, au plus haut sommet de la Bolivie, le garde parc (guide en saison) dit qu'on n'y reste pas longtemps, tellement le vent est violent et envoie des aiguilles de flocons arraches a la glace... il y fait -30 degres ! On se contentera de l'admirer depuis en bas... Grand luxe dans notre campement ce soir, on a même les toilettes, qui s'avèreront moins glamour, mais comme chui vachement sympa je vous épargne les détails!

    On retrouvera Stephanie pour le dîner, sur la place du village, qui borde l'église du coin, remarquable pour son toît en paille! Rénovée il y a peu, elle est vraiment superbe, rustique pas bien grande mais parfaitement en accord avec le paysage! Notre Dame de Paris aurrait été de trop...

    Petits achats express de bonnets chaussettes faits main à la mamitta du coin pour la nuit. A noter qu'il fallait faire un peu gaffe quand même a ne pas avoir l'air trop bête de s'être exstasié devant cette superbe écharpe "Hecho en China"...

    On se rendra compte petit à petit qu'en fait, bah... y a plein de gens qui viennent ici, pas à cette saison, mais plutôt vers Juillet quand il fait froid (je veux dire encore plus froid, parceque on se les gèle deja là..), pour grimper les 6542 m. de son sommet.

    Sajama!

    Premier soir : apres l'orage, coucher de soleil sur le Sajama

    La ville se révèlle remplie d'hotels et de magasins de bouffe/souvenirs... nous qui avions prévus encore 4 jours d'autonomie totale... (6 paquets de pâtes chinoises, un bon gros kilo de fromage sec, des carottes, des tomates, 1 litre d'alcool à 96· neutre (pour nos feux à 4000m), un paquet de 200g de beurre et 45 petits pains), tant pis c'est tant mieux ca veux dire qu'il n'y aurra pas besoin de se rationner! (miam!)

    Après une nuit frigorifiée, enfin pas tant pour Christophe et Laure que pour moi, on lèvera le camp au petit jour, après un grattage de glace dans et sur la tente, en bonne et due forme, nous rejoindrons notre camarade Bretonne pour un petit déjeuner gargantuesque, histoire de se réchauffer un peu et se donner des forces pour la marche de la journée. Au programme: geysers et sources chaudes pour terminer sur un bivouac au bords du lac je-sais-plus-comment-et-je-vais-me-fair-taper-sur-les-doigts, situé au nord du volcan.

    C'est parti pour une ptite balade sous un grand soleil on ne peux plus agréable qui fera fondre les glacons qui nous servaient d'os!

    Passage de petits cours d'eau qui serpentent dans la plaine, sensation de marcher au bout du monde (en un sens c'est pas faux...) dans une prairie qui n'en finit pas de s'étaller sous nos pieds, une pancarte toute rouillée et illisible tente de nous indiquer le chemin... on préferera couper à travers euh... bah, plaine (!) car nous avons vu une colone blanche s'éllever au loin et d'un avis unanime a 4 voix contre aucune, nous avons décidé que c'est bien un geyser! Alors on marche, et on marche et on marche encore un peu avant de nous rendre à l'évidence... à part des lamas y a rien autour de nous...

    Sajama!

    La plaine s'etend a perte de vue

    Le problème avec les geysers, quand ils ne soufflent pas en continu, c'est qu'on peut les caracteriser par un trou dans la terre, tout simplement... et c'est pas ce qu'il y a de plus facile à trouver, un trou dans le sol au millieu d'une plaine d'herbes rases... on finira par se ranger à l'idée que si on ne verra pas ces f$%&tus geysers, au moins on vas se faire une grande bouffe!

    Sajama!

    On traverse des petites cours d'eau

    C'est après la digestion et avant l'arrivée de la flotte -qui s'annonce imminente sous ces gros nuages violets- que l'on quittera Stephanie, qui préfèrera retourner au village, plutôt que de se les geller sous les futurs grelons avec nous. Sage décision !

    On repartira donc a trois en quête des sources thermales... qui -manque de chance- s'avèreront etre aussi discrêtes que les geysers (mouai parce que y devrait y en avoir un peu partout là où on était...), finalement un homme venu de nulle part, et ayant par ailleur effectué un bon ptit footing pour nous ratrapper, nous indique que les sources sont tout proche, un peu en arrière de nous... finalement il fait trop froid et on a plus tant que ca envie de patauger dans l'eau alors qu'une avalanche de grêllons aproche avec son inséparable copain le nuage d'orage.

    On aurra juste eu le temps de courir se mettre a couvert le long d'une maison abandonnée qui passait par là (enfin elle bougeait pas vraiment...), pour éviter de trop attirer la foudre qui tappait à moins d'un kilomêtre de là... Disons que la position du randonneur au millieu d'une plaine où rien ne dépasse 40 cm de haut, à plus de 10km alentour n'est pas des plus agréables lorsqu'un orage vient à passer...

     

    Les intempéries passées, nous reprenons la route pour le lac, que l'on trouvera!! mais bien plus tard que prévu... la ville nous paraissant toute proche sur la carte (note pour les prochaines personnes qui s'aventureront là bas: la carte sur le mur du poste du parc, eh bah elle ment!).

    faire le tour du volcan Sajama, on continue notre route alors que le soleil décline et que les épaules et les pieds commencent à tirer...il ne restait logiquement plus qu'une poignée de centaines de mêtres lorsque un garde du parc passant en moto nous apprit l'existence de 3 km supplémentaires... On aura finalement pique notre meilleure moyenne : 8km parcourus en 1h30, a 4360m. d'altitude !

    Et c'est tout creuvés qu'on arriva, la nuit tombante, dans la petite ville de Tomarapi.

    Cherchant un coin ou planter la tente, nous nous adresserons au guarde croisé plus tôt qui nous invita dans les locaux du parc ou il y a deux lits aux matelas fermes, pas de lumière, pas de vent nous sommes aux anges!

    Après avoir quémandé un peu d'eau chaude à l'unique hotel de la ville (un peu chèr quand même... 80 euros la nuit..) nous dînerons avant de sombrer, achevant ainsi une jolie journée de marche de plus de 25km !

     

    Le lendemain fut ponctué de la trouvaille d'une peau de lama abandonnée (dont une partie prélevée sur place a fini en foureau de couteau), d'un terrible petit dej dans la plaine, dans le plus pur style cow-boy, de l'ascencion des contreforts du volcan (on est allé à 4600m!) et de la course poursuite avec un gang de nuages relativement hostiles toujours accompagnés de leurs potes grêlons et éclairs!

    Sajama!

    Le meilleur des petits dej : au pied du Sajama, avec the, cafe, pain grille avec chocolat fondu et poires, ou beurre et miel...

    Sajama!

    La grande marche dans la grande plaine avec les grands nuages menacants !


    Le tout pour finir a faire du stop sur le bord de la nationale 4 a la tombée de la nuit: bien évidement personne ne s'arrêta, et on trouva finalement LE spot du soir, une petite rivière en contrebas de la route avec son lot de bois sec et abondant, et même son murret pour coupper du vent!

     Sajama!

    Carte google map du Sajama et notre randonnee de deux jours en vert

    Sajama!

    Tombee du jour au bord de la route internationale qui lie la Bolivie a ´son´ seul port : Arica (au Chili)... Curieux, il n'y a que des camions sur cette route !

    Sajama!

    Couchant dans les montagnes de la frontiere bolivio chilienne

    Dîner somptueux aux coin du feu (qui a tres bien pris sans ethanol finalement... le bois est si sec ici !), et nuit étoilée magnifique! nuit fraîche mais supportable.

    Nous rentrâmes sur La Paz à bord d'un semi-remorque qui venait de Arica et transportait du verre de Chine vers la capitale, avec son chauffeur bolivien fort sympathique !

    Un bloquéo nous immobilisa 4h aux portes de la ville, les manifs ici sont quand même plus efficaces qu'en France, quand ils bloquent.... bah personne ne passe -a pars les ambulances bien sûr!-. 

    On atterrira dans un motel en bord d'autoroute dans le quartier de l'Alto a 8h du soir, après 9h passées dans le camion.

    Le dîner aura lieu dans un ptit resto lui aussi au bord de la route, le fameux bouillon de poule nous aurra offert de nouvelles sensation... j'eu le foie (je pense..) Laure et Christophe, moins chanceux auront pût admirer les griffes et le bas des molets des gallinacés Boliviens qui ont dû beaucoup gratter le sol de leurs batteries intensives, à la recherche d'une sortie vers un avenir meilleur, en vain. (ceci était un message de l'amicale des végétariens aigris de manger de la viande a chaque repas en amerique du sud. :)

    Allez je pense avoir assez rempli cette page et de toutes facons personne n'a lu jusqu'au bout c'est trop long....

    à la prochaine!

     

    euh ouai les photos vont pas tarder... c'est la faute au gnôme mangeur d'appareils photo....quand on le choppera celui là!


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  • Nous y sommes!

    Bienvenue chez Evo, dans le pays qui tient son nom du héro Bolivar, Simòn de son ptit nom: militaire Espagnol qui déserta pour combatre ses anciens employeurs un chouilla imperialistes, qui ne goûtaient pas trop aux principes d’émancipation lorsqu’il s’agissaient de ses colonies…

    (Pour plus d’info sur “el Libertador”: http://fr.wikipedia.org/wiki/Sim%C3%B3n_Bol%C3%ADvar)

    Frontiere passée dans la ville frontalière –un chouilla glauque- de Desaguadero, ambiance pousière, armée de taxis, et petits lacs verts fluos du plus bel effets…(genre black messa pour ceux qui connaissent!) On trouvera quand même notre petit resto pour casser la croute, super impression!

    On est vite rassuré: les Boliviens mangent autant que les Péruviens, ouf! seul hic, la soupe habituellement bien garnie, ne sera composée que de flotte dans laquelle ont infusés quelques carcasses de poule, tant pis ca fait de l'eau au moins.

    Notre volonté de visiter les ruines de Tiwanaco partira en fumée bien vite: les 50 soles ne feront que 126 Bolivianos et l’entrée est de 80 par tête de pipe, donc c’est foutu pour aujourd’hui, d’autant qu’il n’y a pas de distributeur pour retirer les pépettes… heureusement que le taxi pour La Paz ne coûte rien: on peux quand même rejoindre la capitale pour la soirée.

    Le compte rendu  de Tiwanaco sera disponible prochainement, nous vous prions de nous excuser pour la gêne occasionnée…


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